Preparatif au donjon de castelcerf

Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 25/01/2008

Dragonet avait été fortement touché par la double invitation d'Alienaure et de son fiancé. Avec le temps, il devenait plus irritable, mais egalement plus sensible à l'education et à la bienseance.

En vérité, les mondanitées l'ennuyaient de plus en plus, mais il y voyait l'occasion de mettre en lumiére des jeunes gens en qui il croyait. Il y voyait aussi l'occasion de remercier Alienaure de son désir d'effacer le passé, geste auquel il avait accordé bien plus de valeur qu'il n'aurait cru.

L'abcence de son epouse parti en irlande presenter leur fille à son clan et sa mére l'empechait de venir accompagné, du moins d'une dame, mais cela lui permettait neanmoins de faire venir de jeunes femmes dont il se faisait le pygmalion dotée d'ascendant, de caractéres, de talents et de personnalité mais aussi de rencontrer d'eventuel partis et se former à la vie nobliliaire pour certaines d'entre elle.

Il regarda sa liste actuelle.

clemence de l'epine, fille du pair alsbo et de feu la marquise de l'epine Matthilde de beaugency, petite fille de Caedes étaient en champagne, il doutais qu'elle puisse venir.

Elégerie de penthievre balsac, dame de vaulmiers,fille du Duc melkio de balsac et de themis de penthievre,duchesse de mauriac et de combrailles, entre autre, petite fille de gomoz,venait de rompre ses fiançailles.. peut être Hannibal à lui presenter..

Marie-Victoire de lasteyrie,fille de laurre Kamps, vicomtesse de lautrec et petite fille de Ursin, comte de comborn entre plein d'autres choses..Il lui avait promis de l'amener au bal, et il voulait qu'elle se fasse des amies de son rang. Lui présenter Lunedor aussi.

Elles etaient l'une en voyage vers le poitou entre changement de route permanent, l'autre sur les terres de son grand pére,les faire venir ne serait donc pas une difficultée.

Il savait que Nebisa ne refuserait jamais en sa demeure des jeunes filles à marrier, et il pensait que le faire en cette occasion etait une façon de reconnaitre à l'evenement un caractére mondain et un evenement d'importance, façon courtoise de repondre à son sens à la demande.

Et deux jeunes filles seraient assurement un brin de gaité autant dans pour la soirée que le voyage.

Il ecrivit les deux lettres et attendit les reponses..

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 23/04/2010

Et bien voilà, elle était là .. Mais qu'allait elle donc faire dans cette galère !! Un oui extirpé, une envie d'inconnu, elle avait suivi "l'écailleux" et lui avait promis. Elle ne savait même pas ce qu'elle faisait là. A petit pas précipités, elle suivait l'ombre qui la précédait en grommelant .. ne vous avisez pas de me présenter un quelconque prétendant, je ne suis pas d'humeur à me marier pour l'heure ... Un sourire en coin, tout de même, pour dérider le vieil homme.

La jeune Balsac avait revêtu une tenue légère soyeuse, toute de reflets bleutés assortis à son regard. "On" la lui avait fait parvenir de ces terres nouvellement connues d'orient. Le tissu en était léger et peu lourd à porter ce qui lui convenait mieux que ces tournures lestées de fourrure.

Accrochant son bras à celui de Dragonnet, elle lui fit une grimace de sa composition, fort peu protocolaire.

Voyez .. je suis là ..

Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 25/01/2008

Voyez .. je suis là ..

la regardant amusée..

Mais je n'en attendais pas moins de vous..je craignais juste qu'en chemin vous detourniez milles fois de la route pour je ne sais quelle soudaine lubie..

Nous attendons encore une autre jeune fille, j'espére qu'elle ne tardera pas, puis nous nous rendrons aux fiançailles..

Nous allons chez les Malemorts, à Segur. Vous risquez de croiser de tout, Armoriste, hydre, partisans de l'ancien regime, mercenaire, noble prè pubére, et plus d'arrogance au cm2 que nul pas ailleurs.. Un sorte de Louvre avant que celui ci soit laissé en decrepitude..

Je ne connais pas le fiancé, si ce n'est qu'il est vassale de Lanfeust, CAC, et prometteur selon sa fiancée. Il semble gentils à premiére vue,je pense que ça peux que lui faire du bien.

Alienaure , la fiancé est une jeune fille de caractére, vous vous ressemblez un peu, elle est moins lunatique et engagé politiquement que vous, mais sans doute plus cinglante.

j'aimerais que vous vous entendiez, vous avez le même age, et bien des points commun en véritée. J'ai souvent eu des mots avec elle, mais vous savez que j'ai horreur des gens qui se mettent sur mon chemin et me font perdre mon temps, et j'entretien en la matiére des relations assez particuliére et ambigue avec les malemorts.

le fait est qu'actuellement je les classe dans mes amis, et je compte sur vous pour me faire honneur, et si c'est le cas, nous aurons d'autres occasions de sortir ensemble.

Nebisa connaissait trés bien vos parents Themis et Melkio d'ailleurs..Elle pourrait s'etrangler en vous voyant a mon bras.

j'espére que notre derniére invitée va se présenter, sinon nous devrons y allez tout deux, mais ça serais plus inconvenant. Elle est exceptionnelle, vous verrez, même si l'idée qu'une autre que vous puisse être exceptionnelle à je le sais le don de vous irriter..

Elle s'appelle Marie-victoire, hommage à la Reyne, et à aussi à besoin d'amie, vous me facheriez en la peinant, j'aimerais que vous vous en souveniez..

Votre robe est merveilleuse sinon, elle vous va à ravir, vous savez combien j'adore l'eclat de vos yeux et tout ce qui les met en valeur..

Nous irons donc sans plume ni ecaille...

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 23/04/2010

et blablabla et blablabla .. à croire que le Dragonet avait peur de la voir mal agir ..

Dois je vous appeler "mon oncle" de surcroit ?

Un sourire innocent accroché à ses lèvres puis une soudaine envie de partir.

Pourquoi avait elle accepté d'accompagné l'écailleux en tel endroit, où elle ne connaitrait personne, où elle n'avait rien à faire qu'à lancer des sourires bien niais aux uns ou aux autres, qui n'en auraient d'ailleurs rien à faire non plus.

Dégageant doucement son bras, elle offrit ses dents blanches en sourire immaculé.

Sachez, Messire, qu'en matière d'éducation et de tenue j'ai reçu la meilleure qu'il soit. Ne craignez pas pour cela. Il est chez nous, des manières qui ne sont point celles de manants. Mais en fait .. je ne sais pas si ma place est d'être ici, avec ces gens que je ne connais pas.

Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 25/01/2008

Oui, je sais que vous savez vous tenir, sans doute bien mieux que moi, j'ai gardé quelques mauvaises habitudes que vous n'avez jamais eu l'occasion d'apprendre.

De quoi vous plaigniez vous, soit la jeune fille que nous attendons arrive et vous y gagnerez une amie, soit elle ne vient pas et vous m'aurez que pour vous, ne me dites pas que dans les deux cas il y avait une hésitation a avoir.

De toute façon vous êtes là car j'avais pas envie de venir seul, et ça fait de moi votre débiteur pour une autre occasion que vous saurez me rappeler. ça vous va jeune fille?

En plus si ça se trouve vous en connaissez plus que moi, coté BA, et puis ce que je connais, il est pas sur pour la plupart que je m'etende en longue conversation avec eux..

Une chasse est prevue m'a ton dis, laissez vous aller et amusez vous..

Nous attendons encore un peu et sinon nous irons rejoindre directement les festivités.

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 23/04/2010

Une voiture noire tirée par quatre chevaux pénétra dans l'enceinte du château. Sur la porte, malgré la poussière du voyage, se devinait l'aigle d'or des Lasteyrie brisé d'une bande d'hermine. Le valet de pied sauta lestement de son perchoir dès qu'eurent cessés les grincements d'essieux et s'empressa de dérouler le marche pied avant d'ouvrir la portière pour livrer passage à l'occupante.

Une silhouette mince et pâle tandit une main gantée d'agneau ivoire sous laquelle le valet vint placer son poing fermer.

Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 25/01/2008

Entendant le carosse..

D'ailleurs voila notre invitée...pour repondre à l'invitation. Soyez aimable donc , je vous en serais gré, mais je sais que c'est une précision inutile.

J'ignore si je vous l'ai dit, mais elle est aveugle,c'est une de mes patientes, et une demoisselle pour qui j'ai beaucoup d'affection et de tendresse. Une des filles de nebisa, Lunedor souffre egalement de ce maux.

Nous prendrons le temps de prendre un raffraichissement, puis nous irons au chateau de segur, nous n'en sommes pas si loin, Riff raff va nous apporter cela..

J'apprecierais que vous alliez la chercher, en soyant avenante, et la meniez à moi. Vous devez être a son ecoute, a celui de son corps et de son rythme, le respecter, vous y soumettre et ensuite vous l'approprier pour le diriger..Vous verrez qu'il y a pas de meilleure excercice que celui là, que d'apprendre a savoir être à l'ecoute de l'autre.

Je l'accompagnerais dans la soirée, mais là, je veux que ça soit vous, que vous ne soyez pas l'une ou l'autre des pieces rapportés, mais bel et bien deux jeunes filles venues ensemble m'accompagner.

Et puis dites vous que moi je ne suis pas aveugle, et que je prend toujours plaisirs a voir deux charmantes jeune femme venir a ma rencontre.

Allez la chercher le temps que les boissons arrivent, et qu'elle se raffraichisse, puis nous partirons.

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 23/04/2010

Tandis qu'elle guettait d'une oreille toute à la fois anxieuse et excitée les sons nouveaux qui lui parvenait, Marie défaisait d'un geste léger le voilage d'organza vieux rose que sa camériste avait fixé sur sa coiffure à l'aide d'une épingle surmontée d'une perle pour protéger l'ordonnance gracieuse des boucles blondes des affres du voyage en calèche.

L'écho des claquement de sabots sur le sol, les sons de voix assourdis par la distance... Marie tentait de se représenter la volumétrie de ce nouvel espace tout en espérant qu'une bonne âme, ou un valet, viendrait l'accueillir, ce qui lui éviterai d'errer au hasard dans ce nouvel environnement.

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 23/04/2010

La jeune Balsac s'approche du carrosse d'où vient de descendre la jeune femme d' organza coiffée. Tendant sa main vers celle de la jeune femme, elle se présenta.

Je suis Elegie de Penthièvre Balsac, je suis chargée de vous accueillir. Bienvenue, damoiselle. Vous êtes fort élégante, je crains que ma tenue ne soit pâle aux côtés des chatoiements de la votre. Venez . on nous attend.

L'entrainant à pas feutrés jusqu'à l'ecailleux, Elegie, mit la main de la jeune fille dans la sienne en souriant.

Le maître des lieux, qui m'a priée de vous accueillir vous attendait avec une impatience non feinte. Bienvenue, Damoiselle.

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 23/04/2010

Marie tourna son regard éternellement rêveur vers la voix chaleureuse qui l'accueillait. Ne pouvant voir la main qu'on lui tendait elle répondit par un sourire.

- Je vous remercie de vos bonnes paroles Madame, et de votre accueil. Mais je crains que tout le mérite de ce chatoiement ne soit à porter au crédit de ma camériste ! Hélas, au-delà du plaisir que je peux éprouver à la caresse de certaines étoffes, je suis bien incapable d'assortir des couleurs dont j'ignore l'existence... Quoiqu'il en soit, merci encore pour le compliment, je n'ai guère l'habitude de paraître en société et cela me rassure un peu de savoir que je suis bien mise. C'est sans doute une peu... futile... mais disons que parfois, les fanfreluches font une bonne armure !

Comme la jeune femme passait sa main sous la sienne, elle en apprécia la chaleur réconfortante ainsi que la fermeté rassurante, et se laissa guider.

Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 25/01/2008

Dragonet observait les deux jeunes femmes se présenter et venir à lui. On avait prit grand soin de l’apprêter avec bon goût et élégance, ce qui montrait l’importance qu’elle ou d’autres avaient apporté à l’événement, et on s’était abstenue de lui assigner une duègne pour l’accompagner. Cela témoignait également de la confiance qu’on lui accordait. A moins que nul ne sache réellement où elle était, ce qui n’était pas impossible.

Elle était venue sans le chien qui lui servait de guide mais aussi de présence rassurance, et il nota la manière dont elle s’accrocha à Elégie.

Il leur accorda un regard doux et protecteur, celui qu’il portait aussi envers Alienaure ces temps ci comme dans son enfance, ou envers la jeune clémence de l’épine. Il se laissa caresse doucement par le soleil, fermant les yeux, se laissant griser par l’odeur de leur parfum et de leur peau porté par le vent.

Il était l’écailleux pour l’une, paisible, sage souvent imprévisible et parfois dangereux, et le cerf, puissant et vigoureux, à l’odeur musqué troublante pour l’autre. Il était un peu de tout cela et bien d’autres choses,

Enivrée de leur odeur, savourant à satiété leur éclat, il en voulait désormais plus. Le médecin, distant et mesuré du domaine des Lasteyries laissait place à un autre reflet de lui-même.

Il vint a leur rencontre..

Assurément, marie-victoire, il faudra vous apprendre à faire une révérence en sachant comment vous orienter, mais nous verrons cela dans le futur. La jeune élégie qui nous accompagne s’avère des plus doué pour rester ainsi dans des fois de long moment avant de se relever, elle à ce talent qui semble innée et n’est que le fruit de travail d’allier charme, élégance et sens des convenances, sauf au moment d’aller se coucher, où elle s’avère toujours fort peu raisonnable. Mais ce soir elle à permission de minuit.

Il adressa un regard satisfait à Elégie, Il ne voulait rien qui puisse blesser de prêt ou de loin la jeune marie victoire, et il savait que sous la carapace de courtoisie des Balsac, la Dame de Vaulmier cachait une Penthiévre.

Permettez

Prenant a son tour la main de la jeune femme, il l’amena à ses lèvres et l’embrassa doucement.

Vous êtes très en beauté ma chère, les jeunes gens vont s’arracher vos faveurs, mais si vous le permettez, pour cette première sortie, je me réserve le plaisir de votre compagnie.

Se tournant vers Elégie

Bien sur vous êtes des nôtres mais je ne doute pas que vous reconnaissiez dans la masse des Auvergnats de vos amis, à moins que vous ne craquiez une fois de plus pour un de ses rouquins pré nubile et boutonneux dont vous semblez avoir ces temps ci le secret. Mais si vous le souhaitez, le temps d’une danse, mes bras seront votre également.

De nouveau vers Marie victoire.

Alicia, ma gouvernante va vous conduire dans un lieu d’aisance si vous voulez vous rafraichir, cela sera plus facile ici, une citronnade est servis a votre disposition, je les faisais venir du pays maure du temps de la Reyne pour sa grossesse et j’en ai gardé le gout

A Elégie, prenant soigneusement la précaution de citer les noms pour mieux inclure sa patiente ;

Elégie il va de soit qu’il en est de même pour vous. Je vous attends toute deux.

Laissant les deux jeunes femmes faire ce qui leur paraissait utile, il alla vérifier l’état de son propre carrosse, attendit leur retour, les aida toute deux courtoisement à s’installer, puis ils prirent la route de Ségur, ils n’avaient déjà que trop trainée.

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 23/04/2010

Tandis que le carrosse du médecin les emportait à vive allure vers le lieu des réjouissances, Marie souriait à ses chimères. Cet intermède festif arrivait à point nommé. Il allait lui permettre de tester une autonomie qu'elle conquérait avec acharnement jour après jour en attendant que les soins de Dragonnet lui rende l'usage de ses yeux, et lui offrirait une distraction inédite et délicieusement superficielle bien loin des deuils qu'elle avait affrontés et des obligations récentes auxquelles elle n'avait d'autre choix que de se soumettre.

Son premier bal !
Danser !

Elle n'avait pas encore entendu la moindre note de musique mais elle se sentait déjà grisée par le tournoiement des menuets. Et excitée comme une enfant qu'elle n'avait guère eu le loisir d'être ! Ses doigts menus tortillaient les gants clairs qu'elle avait posés sur ses genoux.

Enfin, la voiture s'arrêta et Marie, souriant de plus en plus, se tordit légèrement une cheville en voulant descendre trop vite. Mais elle était trop euphorique pour s'appesantir sur ce léger désagrément et espéra surtout que ses compagnons de route n'avaient pas remarqué son trouble et sa maladresse... hum... on peut toujours rêver.

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 23/04/2010

cahotée sur les routes d'habitude bien empierrées, Élégie pestait contre les cantonniers du lieu, qui à coup sûr avaient laissé trous et bosses pour escagasser son corps frêle mais fort heureusement solide. Elle comptait pierre après pierre, trou après trou. Aucun de la voiture ne semblait en souffrir. Elle eut envie de crier au cocher qu'il en avait oublié un .. à gauche .. quand le carrosse s'arrêta.

L'écailleux sortit le premier pour aider la damoiselle à sortir et alors que la jeune Balsac s'apprêtait à en faire autant, elle aperçut la jeune femme se tordre un peu le pied. Elle allait réagir, quand elle se ravisa, pensant qu'il serait plus blessant de remarquer un faux pas que de ne pas le faire.

Elle sourit et descendant à son tour, elle passa sa main sur le bras de la jeune Marie Victoire.

Hâte de danser Damoiselle ? J'adore ça pour ma part ! C'est follement excitant de se laisser aller au rythme d'une tarentelle ou d'un menuet. Enfin... bien sur, tout dépend du cavalier qui s'impose à vous. Je vous le décrirai si vous le voulez bien .. ainsi nous nous amuserons .. Vous sentirez la chaleur de son ton, la soyance de son habit et je vous dirai quel est son air. Ma proposition vous tente ?

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 23/04/2010

- Grande hâte en effet... confessa-t-elle en rosissant. Plus qu'il n'est séant de le confesser sans doute ! Et je serai fort heureuse de votre complicité ! Nous pourrons ainsi comparer entre le fond et la forme et peut-être dénicher quelque oiseau rare ! Ce sera fort réjouissant !

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 23/04/2010

Le temps semblait s'étirer à l'infini... la hâte de la jeune fille mise à rude épreuve par les incontournables convenances : ne pas marcher trop vite, garder la tête droite, ne pas sourire bêtement d'une oreille à l'autre !...