Cérémonie en l'honneur du jeune Malemort. Act 1 la Collation

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 19/01/2007

Le Grand maitre de l'ordre hospitalier de Saint Jean de Jérusalem avait répondu avec grand plaisir à l'invitation de sa grandeur Nébisa.
Elle avait annoncé une journée et une cérémonie grandiose, comme d'habitude Ursin savait que Nébisa ne faillirait pas.
A son arrivée dans la salle, son oeil fut immédiatement attiré par la tenue chatoyante du Grand Escuyer de France et de son petit neveu.
Messire de Turenne avait un goût vestimentaire pour le moins pronnoncé.
Le Grand Maitre lui n'avait pas dérogé à ses habitudes, il était venu vêtu de sa grande tenue d'hospitalier empreinte de simplicité et d'austérité. Mais une fois n'était pas coutûme, il avait tout de même fait quelques efforts, un fermail d'amethyste tenait son manteau et un rubis ornait le pommeau de son épée.
Entrant dans la salle il saluat tout d'abord les dames présentes.

Votre Grandeur nébisa, je suis fort aise de me retrouver en si noble compagnie ce soir et vous félicite pour la tenue de vos enfants une fois de plus. Votre fils à bien grandit et il sera bientot homme à défendre le comté que vous avez édifié. Les générations passent mais bon sang demeure madame.

Puis ursin se tourna vers les autres dames et fit un profond salut de la tête.
Enfin il saluat le grand Escuyer.
une question lui brulait les lèvres mais il n'osait la poser ...

Eclat de rire gaie de la Princesse aux yeux d'eau, qui pendant que Nebisa paoptte avec Ursin, lui tends un verre de prune et l'entraîne à l'écart pour parler plus librement

Oui tu seras de facto mon vassal et là... ça promet des discussions animées avec Sa Grandeur... Et puis, tu as en effet raison..; pas besoin d'habits pour déniaiser mais si tu veux dans le feu de l'action, il est préférable d'avoir quelque chose de plus facile à enlever... *sourire goguenard* Parce que les tenues de Nico, aussi jolies soient-elles, je le connais et c'est la croix et la bannière pour enlever ça... puis alors si tu t'avises de déchirer... c'en est fini... c'est des cris, des hurlements, et pas forcément ceux qu'on voudrait entendre... mais dis moi... tu as déjà ét déniaiser Bara?

Sourire... si Nico l'entendait... C'est vrai qu'en comparaison, ses jupes, jupons et tralala c'est peau de balle!

Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 20/01/2007

Oui je suis arrivée au bon moment à ce que je vois. Ca va merci.

Marie sourit et salua de la tête les personnes présentes avant de coller un poutou amical au Comte de Turenne.

Messire, je vois que votre goût pour les beaux tissus n'a pas changé. Qui avez-vous torturé comme tisserand pour avoir pareil tenue.

Elle sourit à son ami avant de saluer le jeune Barahir qui suit sa tante.

Un verre de prune lui ai servi et Marie se retourna vers Neb.

Prête je ne sais pas mais je jouterai bien sûr.

Comtesse Nombre de messages : 1429 Date d'inscription : 19/11/2006

Ursin ! je suis ravie de te voir !

Amusée elle se reprend

Messire Comte de Comborn, Grand maistre de l'ordre de hospitalier de Saint Jean de Jérusalem neb reprend son souffle, vous éclairé mon salon de votre venue et savoir que vous mettez de cotés vos lourdes charges au sein de vostre ordre pour me visiter m'emplie de grattitude ... Bref, je suis ravie quoi ! Vous vous portez à merveille on dirait ! C'est l'air de la Guyenne ça ! Prêt pour la joute ?

Du coin de l'oeil elle voit ann attirer Barahir a l'écart mais Ann lui tournant le dos elle n'arrive pas a voir ce qu'ils fabriquent et espére que Nico les surveillera... étrangement elle s'inquiéte plus de savoir quelle bêtise Ann peut inventer plutot que de penser que son fils commettrait une follie un tel jours...

Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 07/01/2007

La cérémonie terminée, Nico voit entrer avec plaisir deux de ses connaissances, qu'il n'a croisées depuis un certain temps, dans des locaux amicaux du moins.

Il rend son baiser à Marie, lui faisant un clin d'oeil à la mention des beaux tissus.

Bonjour Marie, ravi de te revoir.
Bah... j'ai eu le plus grand mal à trouver 2 tailleurs en Guyenne. On dira ce qu'on veut, mais Paris reste Paris. Il m'a presque fallu leur expliquer ce qu'était le taffetas. A croire qu'ils n'en avaient jamais manié. Enfin, le résultat est assez satisfaisant.

Adresse un signe de tête à Ursin.

Ursin, content de te retrouver ici. Ca change des Ecuries royales... on se sent moins guindés !

Du coin de l'oeil, il voit Ann entraîner Barahir à l'écart et lui tendre un verre de prune. Ses sourcils se froncent en un geste plus que familier depuis qu'il côtoie la Princesse de très près. S'excusant auprès des hôtes de Nebisa, il s'approche discrètement du couple qui bavarde. Son coeur manque 2 battements à entendre la conversation et c'est d'un ton cinglant, atténué cependant par les sentiments qu'il éprouve pour les 2 zouaves, qu'il intervient.

Hum hum... je ne pense pas qu'il soit opportun de parler de telles choses en public. Saisit le bras d'Ann et essaie de l'entraîner, tout en lui glissant : tu imagines la réaction de Nebisa si jamais elle apprend que tu tiens ce genre de propos à Barahir ? Tu veux qu'elle me décolle la tête du buste, c'est ça ?

Tout en continuant à entraîner Ann vers le reste du groupe, il regarde Barahir d'un air qui se veut sévère et lui dit :

Jeune homme, il va vraiment falloir que nous discutions sérieusement durant le trajet vers Paris ! Je sens qu'il va falloir que je t'explique 2-3 choses...

Revient à Ann.

Non mais vraiment ! Un ton beaucoup plus bas : je ne savais pas que tu pensais que je ne me déshabillais pas assez vite... Je me rattraperai la prochaine fois, sois-en sûre !

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 05/09/2007

Lola avait suivi d'autres personnes, c'est comme ça qu'elle arriva dans la pièce ou la cérémonie adoubement de Barahir avait lieu. Malheureusement, elle était fini, elle était arrivée trop en retard. Elle s'avança dans la pièce tout en étant la plus discrète. Elle reconnu beaucoup de monde, Nico, Ursin, sa belle soeur, Elea, Ann, enfin que du beau monde qui reveillait de vieux souvenirs. Elle salua les personnes d'un signe de tête. Le jeune homme était tout rouge, on devait etre en train de le taquiner. Lola s'avança vers Nebisa. Une fois qu'elle eut fini de parler, elle prit la liberter de parler à son tour.

Nebisa, je suis heureuse de me trouver chez toi pour cette occassion. Ton fils est devenu un homme. C'est impressionnant comme nos petits garçons grandissent si vite. Heureusement que nos filles nous restent plus longtemps.

Le rouge qui monte aux joues du jeune Barahir fait s'interroger Ann de manière fort peu protocolaire. Est-ce que ça veut dire oui, ou est ce que ça veut dire non? Pierre-feuille-ciseau... humpf... mais... pis c'est qui cette Toinette? Ah ca, on va pas en rester là! Ah que non! Faisant mine d'abandonner, haussant les épaules à l'intention de Barahir, elle se laisse entraîner, se jurant de le coincer dans un coin pr savoir le fin mot de l'histoire pendant les joutes.

C'est pas en public, c'est Barahir et c'est mon filleul et je le connais depuis l'âge où il rampait en salissant ses couches. En plus, j'voudrais biens avoir où il en est de son éducation. Parce que petit il s'éclipsait avec des filles dans la grange de Châlons, se mettait tout nu et essayait de reproduire sa mère! Alors j'ai le droit de savoir Nom d'un petit bonhomme en pain d'épices! Et puis de toutes façons, Neb elle sait pas et qu'est ce que tu voudrais qu'elle te dise? Hein? Et non, j'aimerais que tu gardes la tête sur les épaules M'sieur le Comte! Et puis oui j'trouve que tu es trop long et la prochaine fois, je te préviens que je n'aurais pas cette patience et que ton habit tu pourras l'enterrer au fond du jardin!

Et c'est ainsi qu'après ce logorrhéique discours et ces prophétiques paroles prononcées à voix haute, la Princesse lui adressa un sourire charmant et charmeur, l'embrassa et parti s'enquiller un troisième verre... Après un dernier regard lourd de sous-entendu vers Barahir...

Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 07/01/2007

Haussant sourcils et épaules dans un geste qui se veut d'abandon, il se contente de murmurer :

Mais oui, mais oui... c'est ça. On verra bien.

Il rejoint ensuite le petit groupe auquel s'est adjointe Lola et il lui adresse un sourire, tout en regardant Ann s'emparer d'un 3ème verre. Décidé à ne rien dire pour éviter la foudre, il reporte son attention sur la conversation ambiante.

Un soupir... c'est incroyable ça un homme qui aime mieux ses taffetas, broderies, soie, et autres velours que sa future épouse. Doute... est-ce vraiment une bonne idée que de l'épouser? Un jour Erwyn lui avait dit que se remettre en question perpétuellement, douter et s'enfoncer dans la mélancolie lui permettait d'avancer en tant qu'homme. De comprendre. Douter... ça elle doute, la tempetueuse Princesse. D'un air absent, se grattant le bout du nez, elle fixe Nico. A t'elle le droit de se remarier? Ne serait-ce pas trahir la mémoire de son époux? Son époux oui.. Ad vitam aeternam... Le premier, l'unique... Et puis, Nico a été clair, il veut des héritiers... Et elle... elle n'en veut plus! Soupir tandisqu'elle boit d'une traite son dernier verre. Elle qui ne voulait plus s'attacher... même pas prendre un amant de peur de l'aimer. Il est tellement plus facile d'être seule, de s'aigrir et de s'enfoncer dans l'alcool et l'opium que d'aller au devant des autres. Tiens d'ailleurs, elle a oublié son opium... Humpf... Tant pis. Relève la tête Principessa, tu es là pour t'amuser, tu l'oublies?
Reposer son verre, avaler un macaron... et se faire sociable. Princesse revée, Princesse de contes de fées... Avec un sourire aimable, elle se rapproche, enlace Nico et pose la tête sur son épaule. Embrasse son oreille et dit:

La prochaine fois, j'essayerais de prévoir quand est-ce que je pourrais avoir envie de faire l'amour et je t'enverrais un carton d'invitation...

Puis un peu plus fort...

Alors ces joutes?

Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 07/01/2007

Son bras entoure la taille de sa compagne, alors qu'elle vient s'appuyer sur lui. Il n'est pas accoutumé à ce genre de geste mais il se dit qu'il est parfois trop rigide, même si c'est sa vivacité et son mépris des convenances qui lui plaisent le plus chez elle.

Sa tête se pose sur son épaule et il dépose un tendre baiser sur le front de sa dulcinée. Un frisson le parcourt lorsqu'elle lui embrasse l'oreille. Il répond, sur le même ton :

Tu connais mes adresses... tes cartons seront les bienvenus !

Il l'embrasse tendrement à nouveau, comme pour se faire pardonner son ironie. Pourtant elle sait que c'est ainsi qu'il se protège de se livrer trop. Puis plus haut :

Oui... et ces joutes, que deviennent-elles ?

Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 20/01/2007

Marie sourit à Nico, imaginant fort bien ce que les pauvres tailleurs avaient dû subir pour confectionner un tel habit.

Elle écoutait les conversations d'une oreille, pensive et l'esprit ailleurs quand sa belle-soeur arriva à son tour.

La jeune femme se dirigea vers elle et l'embrassa, heureuse de la voir après tout ce temps.

Comment vas-tu Lola? Et ma nièce et mon neveu? Ils ont du grandir, je me dis toujours que je dois venir vous voir mais le temps file.

Se tournant vers Neb, elle ajouta:

Et tes petits derniers, tu sais que je ne sais toujours pas leur nom.

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 21/01/2007

Ayant finalement trouvé quelqu'un pour s'occuper de Nephelim, Eowin se dirigea vers l'entrée. Elle n'avait encore jamais mis les pieds chez la comtesse, mais elle trouverait bien son chemin.

Un valet posté à l'entrée la débarassa de sa cape et lui indiqua la salle où la cérémonie devait avoir lieu. Cell-ci devait déjà être terminée, un petit groupe se massant du côté des buffets.

Elle ne connaissait pas le jeune fils de son amie, Barahir, aussi ne se sentait elle pas vraiment à sa place. Elle eut un sourire en reconaissant Nico, Marie et Tibou, soulagée de ne pas se retrouver qu'avec des inconnus.

Apercevant également Nebisa, elle s'avança vers elle pour la saluer.

Bonjour ma soeur ! Je te remercie de m'accueillir en ce jour de fête. Je crois que nous en avons tous besoin en ce moment. Et j'espère qu'une bonne joute me remettra les idées en place !

Comtesse Nombre de messages : 1429 Date d'inscription : 19/11/2006

Finissant son verre en regardant le salon s'emplir de conversation, heureuse de voir les sourrires sur les visages, les échanges de taquineries entre Barahir et Aliènaure, ne regrettant presque pas une certaine absence... de toute façon, son coeur est devenu de fer et ces déceptions sont trop habituelles pour la toucher... Ancun homme n'a jamais montré d'empressement pour être prés d'elle malgré l'ardeur qu'ils mettaient à l'assurer de leurs sentiment alors pourquoi celui çi serait-il différent ? Grimace légère vite chassée por revenir à l'instant présent et à la joie ... Neb se tourne vers Marie Alice , la mine extatiqu

Les jumeaux vont bien... Ils grandissent à vue d'oeil et même s'ils demeurrent de constitution fragile, je crois qu'ils ferront vite des prouesses ! Je vais demander à leur nourrice de les ammener quelques temps ! Et... je confesse ne pas avoir trouvé de noms encore... J'hésite tellement...

Rougissant vaguement alors qu'un page part en direction de l'aile privée pour aller chercher la nourrice et les enfants, Neb acceuille Eowyn avec joie, heureuse de la voir arriver, à peine en retard (:p).

Bonjour Eo ! Les joutes ne vont pas tarder maintenant, nous allons nous rendre aux jardins voir si mon confrére héraut et sur place ! J'espére qu'ilne se languie pas trop !

Nombre de messages : 655 Date d'inscription : 10/09/2007

Nichés dans le giron de la Madelon aux beaux ... oui bon on arrête là les rimes.. les derniers nés Malemort font rapidement leur apparition.

Nés plus d'un mois avant terme à l'hoste Saint Paul de Paris, siége des logements de fonction des hérauts, les deux petits rigoureusement identique affichent aujourd'hui des petites bouilles roses et épanouies, deux paires d'yeux marrons pailletés de verts, des yeux qu'ils ne tiennent surement pas de leur mére, et des petits fronts plissés par l'incompréhension actuellement...

Prés de quatre mois aprés leur naissance mouvementée sous les cris et les ronchonnements de la principessa -qui pleure toujours sa belle robe blanche d'ailleurs- les minis Malemort, réveillés pendant leur sieste... âge béni ou la vie se résume à manger et dormir... ne semblent pas ravis d'être trimballé dans les couloirs et roulent leurs yeux curieux vers ce plaffond qui défillent encore et encore jusqu'à ce que la Madelon aux beaux... hum oui j'abrége... jusqu'à ce que la Madelon s'immobilise...

Sourire-soupir. Sangdieu quel couple. Elle frisonne. Bref moment d'inattention. Le lunatisme de la Princesse se fait grave. Allez, un effort la Mioche. Sourire. Elle attrappe Nico par la main, voyant que l'ambiance de la fête retombe, s'exclame:

Bien... je crois que ej vais aller me balader... du côté de la Lice. Barahir viens donc voir par là si j'y suis.

Et dans son sillage, elle entraîna le Comte d'une main et le jeune Seigneur de l'autre.

» Petite collation de bienvenue
» Le Mime et la Malemort.
» [RP] Les Malemort au comptoir